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Créée en 1957 et mise en place en 1962, la Politique Agricole Commune (PAC) se doit d’être au cœur de l’actualité, puisque sa réforme, initiée en 2013, sera mise en œuvre en 2015. Il est d’autant plus important d’en parler qu’elle se place en tête des politiques européennes en termes de budget, comptant en 2008 pour 43% du budget européen, c’est-à-dire 55,5 milliards d’euros, ou encore 100€ par citoyen et par an. Petit rappel sur ses tenants et aboutissants.
Du 15 octobre au 30 novembre, le Festival Alimenterre fait son retour pour sa 8ème édition ! Venez découvrir et débattre sur les enjeux agricoles et alimentaires dans le monde, et plus particulièrement, cette année, sur l’agriculture familiale.
Eating animals est un livre paru aux Etats-Unis en 2009. Il retrace l’enquête et les interrogations de l’auteur sur le fait de manger des animaux : conditions d’élevage, pollution, signification sociale de la viande, rites liés à la nourriture.
… Et si les nouvelles technologies pouvaient réduire ça ?
Entre un tiers et la moitié de la production alimentaire mondiale est jetée. Si dans les pays en développement, la majeure partie des pertes est associée avec la production, dans les pays développés, le gaspillage concerne surtout la transformation, distribution et consommation. En France, chaque habitant jette en moyenne 80kg de nourriture par an (enquête TheConsumerView). Et le gâchis de la part des producteurs et distributeurs est significatif également : patates biscornues, carottes tordues, produits dont la date de péremption approche… Au niveau mondial, les pertes et gaspillages coûtent 100 milliards de dollars par an et l’impact environnemental est également significatif : jeter un steak de bœuf revient à allumer une lampe de 60W pendant… 70 heures (enquête Consoglobe) ! Alors oui, il faut éteindre la lampe en sortant de la pièce, mais aussi réduire le gaspillage alimentaire.
Crédits image : http://healthinessbox.files.wordpress.com/2013/05/chia-seeds.jpg
Greeniaume le Gnome espère qu’au moins une partie de votre intérêt pour les graines de chia (Salvia Hispanica) a survécu à l’impitoyablement long post sur leur origine, comment ils sont devenu populaires et la tribu Usain Bolt… parce que si c’est le cas, vous méritez d’en savoir plus sur pourquoi elles sont si bonnes pour vous.
Nous avons grandit dans un monde sans saisons. Je ne veux pas dire que la Terre s’est arrêtée de tourner et que les feuilles ne tombent plus mais entrez dans un supermarché un de ces jours et vous verrez ce que je veux dire.
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Laissons de côté un instant les parties sombres de l’histoire au cours de laquelle Hernán Cortés et Francisco Pizarro ont conquis les Aztèques et les Incas, accompagnés d’autres Espagnols et de quelques tribus indigènes peu commodes. Nous entrevoyons alors que nous avons beaucoup de raisons de les remercier¹. Avec la conquête du Nouveau Monde au 16ème siècle, est en effet également venu le début d’une internationalisation progressive de nombreux types d’aliments sans lesquels la plupart d’entre nous pourrait difficilement imaginer sa vie aujourd’hui. De la pomme de terre, fruit sacré de la terre pour les Européens de l’Est, les Irlandais et beaucoup d’autres peuples à travers le monde, au magnifique chocolat, avec son goût qui est peut-être l’une des seules choses sur laquelle tout le monde peut s’accorder. La liste est vraiment sans fin. Mais alors que nous avons intégré beaucoup d’aliments indigènes des Amériques dans notre alimentation, nous en avons laissé certains, peut-être injustement, de côté. Du moins, jusqu’à tout récemment.
Dans le monde des éco-friendly, une nouvelle mode a fait son apparition depuis quelques années. Ses adeptes ne sont pas vindicatifs, mais de leur point de vue, ils changent le monde à leur façon, un repas à la fois : ce sont les végétariens à mi-temps !
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